mardi 30 novembre 2010

Lafko TV #3 : Cape Town to Namibia

Petit FLASHBACK en images...



Jean-Christophe

samedi 27 novembre 2010

Un nouveau continent pour Lafko !

L'Amérique, c'est l'Amérique qui est apparue devant nous ce matin !

Comme à chaque fois depuis notre départ de Cape Town il y a un peu plus d'un mois, c'est au lever du soleil que la silhouette de l'archipel brésilien de Fernando de Noronha s'est offerte à nous.

J'aime ce moment magique où l'on devine une nouvelle terre devant l'étrave de Lafko. Nous avons déjà parcouru plus d'un tiers du globe en longitude depuis notre départ de Malaisie, ça commence à faire un bon bout de chemin !

L'île principale est dominée par le Morro Do Pico, un majestueux pic qui rappelle le Pain de Sucre de Rio de Janeiro. C'est le premier relief que nous avons aperçu au loin. Le soleil s'est ensuite levé et nous a dévoilé les autres îles et les habitations.

Nous avons contourné l'archipel par sa pointe Nord-Est et sommes entrés dans la Baia de San Antonio. C'est alors qu'un thon jaune et une bonite se sont jetés sur nos lignes de pêche désespérément bredouilles depuis Ascension. En pleine manoeuvre d'atterrissage ! (oui, on dit comme ça :) ).

Abandonnant la carte, je me jette sur une ligne de traîne et Damien se saisit de la canne à pêche. La vitesse de Lafko empêche nos prises de trop se débattre et elles finissent rapidement dans le cockpit (la bonite aura quand même réussi à dérouler tout le moulinet de la canne !).

Guillaume prend la barre, nous installons nos 2 ancres sur le davier et mouillons assez proches de la plage.

C'est fait, Lafko vient de mettre un pied au Brésil !

Les poissons sont vidés sous l'oeil gourmand de frégates qui voltigent au-dessus de nos têtes.

Nous débarquons ensuite et sommes accueillis par un "Bonjour mes amis !" de la part de Pacheco, un des rares habitants de l'ile qui parle une autre langue que le portugais !

Ca tombe bien, il est policier militaire et c'est avec lui que nous commençons les formalités de débarquement qui sont assez strictes. On sent qu'il ne vaut mieux pas plaisanter avec les réglements...

1h30 plus tard, après une dizaine de coups de tampons, nous sommes libres :)

A nous la cuisine brésilienne pour commencer !

(J'aperçois un voilier qui arrive, pavillon français ! chouette !!)

jeudi 25 novembre 2010

Où est donc Lafko ?

Bonjour !
Lafko est dans les alizés, en train de traverser l'Atlantique Sud. Cela fait un petit bout de temps que nous n'avons pas mis à jour le blog car les Café Internet sont
rares au milieu de l'Océan.
Nous vous écrivons donc aujourd'hui grâce à notre téléphone satellite, vive la technologie !
Après des escales à Sainte-Hélène et Ascension, nous atteindrons très probablement samedi 27 novembre l'archipel brésilien de Fernando do Noronha.
Notre position est en ce moment-même de 4.16 degrés de latitude Sud et 27.21 degrés de latitude Ouest. (ah, ça a déjà bougé...)
Nous sommes donc sacrément rapprochés de l'Equateur et il commence à vraiment faire chaud !
La mer est bleue, le vent presque toujours constant en direction et en force. Nous naviguons quasiment nuit et jour sous spi, grande voile d'avant en forme de ballon.
Cette voile, jaune et bleue aux couleurs de Lafko, que nous avions peu utilisée auparavant, nous permet de maintenir une moyenne proche de 7 noeuds, soit 168 milles en
24h, ça défile au compteur !!
Nos journées et nos nuits sont rythmées par les quarts, pendant lesquels un d'entre nous est responsable de la bonne marche du bateau : cap, vitesse, réglages des voiles
et surveillance du matériel.
Et sinon, beaucoup de lecture, un peu de sieste, de bricolage, de cuisine, de jeux et de discussions ! Il y a aussi bien sûr la pêche, 4 lignes traquent en permanence la
dorade, le thazard et la bonite... Côté fruits et légumes, un régime de bananes se balance à l'arrière, vivement que ça mûrisse !
Voilà la vie sur Lafko, qui se prépare à aborder son 3ème continent !
A bientôt,
Florent, Guillaume, Damien et Jean-Christophe.

jeudi 11 novembre 2010

Swakopmund, ou la possibilité d’une île

Pour parler de la Namibie, il faut parler des hommes. Et ils sont rares dans ce pays lunaire, plus vaste que la France, qui dispute a la Mongolie, aux Iles Christmas et a l`Australie le rang de pays le moins peuplé au monde (moins de 2 hab/km2). Swakop pour les initiés, Swakopmund c’est, tout comme Lüderitz ou Walvis Bay, un peu de Bavière au milieu du désert : une enclave étonnante et rassurante entre mer et désert où, sous l’impulsion des colons allemands, sont parvenus à s’implanter des hommes. Ces villes sont sous la menace constante du somptueux mais oppressant désert Namibien. Il est omniprésent. La ville est séparée du sable par un muret à l’image d’une digue, complété d’un espace d’une dizaine de mètres terminé par une rangée d’arbustes soigneusement entretenus car cassant le vent du désert. Derrière cette frêle muraille se cache la route qui relie les hommes.

Les hommes… En Namibie, la cohabitation noirs / blancs est apaisée (en tout cas plus qu’en Afrique du Sud) malgré une histoire tourmentée. Ici, point de barrières et d’agents de sécurité devant chaque résidence. Et pourtant on se demande de quoi il est possible de vivre. C’est historiquement la volonté de disposer d’un port pour alimenter les colonies africaines qui a conduit au développement de Walvis Bay. Mais la ville sera rapidement conquise par les anglais, et les allemands ne parviendront pas à la reprendre. De dépit, ils fonderont Swakopmund un peu plus au nord. Un peu plus désert surtout.
Aujourd’hui Swakopmund vit principalement des richesses minières du désert. L’uranium et le diamant. Mais l’uranium vous me direz…. c’est un peu la France, non ? Eh oui, la langue de Molière est bien vivante à Swakop grace à l’implantation d’Areva.

Nous avons eu la chance de rencontrer quelques uns de la poignée de français en exil volontaire dans ce bout du monde. Ils ne reçoivent que peu de visites de l’hexagone, les billets d’avion (pour l’Afrique du Sud d’abord, puis une correspondance pour la Namibie) depuis l’Europe étant très chers. Mais ils ont l'enthousiasme et la flamme de ceux qui construisent le monde au fond des yeux. Paul et Béatrice sont en VIE en contrôle de gestion, Raphael est stagiaire pour un an, Benoit est ingénieur et dirige une équipe de mineurs… Tous, ils vivent une vie aux antipodes du français métropolitain moyen. La mine est à 1h45 de piste avalée chaque matin dans le bus d’entreprise. Les équipes sont multiculturelles et la concurrence (par les chinois notamment) va croissante. Le travail est dur dans ce monde sec de pierres et de machines excavatrices géantes pour fouiller la terre.
Mais pour tous, la Namibie au-delà des challenges techniques et humains, c’est aussi et surtout la vie exaltante de l’Afrique. Les couleurs sont eblouissantes : couchers de soleil enflammés sur les dunes, contrastes des ocres, jaunes et pourpres avec le vert des rares plantes...

Le charme de l’Afrique est partout, depuis les statues et tissus afros ornant les murs des constructions typées allemandes jusqu’aux rires et aux accents chantants des caissières des commerces. Les paysages sont des absolus aux noms évocateurs : côte des squelettes, delta de l’Okavango, désert du Namib, desert du Kalahari, monts du Brandberg... La variété et la beauté des animaux sauvage est elle-aussi déconcertante : impalas, autruches, koudous, coyottes, springboks et oryx vivent au milieu des dunes à l'ouest du pays et éléphants du desert et rhinoceros noirs en peuplent l'est…
Bien qu'ils ne soient pas parvenus à rapporter des magnifiques cornes torsadées des koudous (de toutes façons impossibles à importer en France), les Lafko boys l’ont testé pour vous, l'accueil des exilés de Swakopmund vaut tout l'or du monde!

Où est Lafko ? A Sainte-Hélène ! et à la radio !

Nous venons d'arriver sur l'île de Sainte-Hélène, en plein milieu de l'Atlantique Sud !

C'est un gigantesque rocher de 800 mètres de haut qui est sorti de la brume devant l'étrave de Lafko tôt ce matin !

Après presque 10 jours de très (trop ?) tranquille traversée depuis la Namibie, nous sommes heureux de mettre pied à terre !

Nous retrouvons ici l'ambiance des îles perdues qui ne sont accessibles que par la mer.

Il faut en effet 7 jours de ferry depuis Cape Town pour venir ici ! Autant vous dire que les habitants sont très contents de voir des nouvelles têtes !

Nous irons rendre visite demain à Napoléon dont la dernière demeure fut Longwood.


 Nous avons rendez-vous demain soir pour une interview sur Saint FM, la radio la plus importante de tout l'Océan Atlantique Sud !!! On nous entendra de l'ïle d'Ascension jusqu'aux Malouines :) Le début de la célébrité ?

Grande nouvelle pour nos lecteurs de l'hémisphère Nord, vous pourrez aussi nous écouter par Internet sur : http://www.saint.fm/ !
Nous ne savons pas encore à quelle heure notre interview sera diffusé. A suivre !


A bientôt et merci encore d'être si nombreux à nous suivre !

mercredi 10 novembre 2010

Grand jeu concours pendant que Lafko traverse l'Atlantique

A vous de jouer : que ne trouve-t-on pas sur Lafko ?

1/ 2 jeux de boules de pétanque
2/ un toaster
3/ un anémomètre
4/ un barbecue
5/ une tente igloo biplace
6/ un Sound System JVC
7/ un poster de Diego Forlan d’1 m sur 1.20 m
8/ un congélateur de 1 m3 220v tropicalisé
9/ une bibliothèque riche de 450 livres et 150 CD
10/ une radio BLU des années 60
11/ un fusil de chasse sous-marine en bois
12/ un pavillon du Zululand Yacht Club
13/ un compas de relèvement
14/ une voile de planche à voile
15/ 6 récepteurs GPS
16/ une arbalète à cormorans
17/ un lave-vaisselle à pédale
18/ un lave-linge Brandt 3 vitesses
19/ des boulettes de Gulab Jamun
20/ des jeux de cours de récréation (billes, corde à sauter...)
21/ un séchoir à jambon
22/ un guide nautique du Vanuatu
23/ du corned beef de zébu
24/ un presse-agrumes
25/ un dessalinisateur à manivelle

Et oui, on est équipés (ou pas) sur Lafko !

mercredi 3 novembre 2010

Nos rencontres à Cape Town

Tout a réellement commencé depuis le Royal Cape Yacht Club (RCYC), sorte d’enclave de voileux dans la ville où on se sent un peu comme à Cowes (Ile de White au Royaume Uni), à Sandhamn (Sud Est de Stockholm), ou à la Trinité-sur-Mer, sorte de « La Mecque » locale de la voile ! Dans le port, on notamment contempler Puma, le V70 d’une des dernières Volvo Ocean Race.
Dès notre arrivée, le pavillon français a été hissé pour honorer la présence du 2e bateau étranger, de quoi nous sentir directement à l’aise ! Il faut dire que peu de voileux d’autres pays viennent faire de la plaisance ici vu les conditions ; à Bonne Espérance il n’est pas rare de voir des vagues de 18 mètres et des vents qui dépassent facilement les 70 nœuds nous dit-on… Aussi, lorsque le vent n’est pas favorable, c’est soit 3 jours, soit 6 jours, soit 9 jours, soit « unlimited ». Bref avec des éléments si extrêmes, les amateurs de voile de Cape Town sont soit des régatiers qui sortent prudemment pour la journée, soit des fous des océans comme on a pu en rencontrer. Au milieu de tout cela, lorsqu’un voilier de voyage en provenance de Malaisie sous pavillon français arrive dans le port, cela éveille les curieux…
Aussi, le milieu de la voile a de bon qu’il véhicule des valeurs que nous sommes sûr d’avoir en commun avec les plaisanciers que nous rencontrons. Partant de là, la conversation devient plutôt aisée et nous n’avons pas eu trop de mal à nous faire des amis… surtout Florent, l’ambassadeur du bord, qui connaissait déjà presque tout le monde à peine le bateau à quai. Ainsi, nous y avons fait la connaissance de Sophie, Manuel, Michael, Jean, Marc, Yann, Michaela, Alexandre, Sabine, Felix, Danny, Sabine, Felix, Alan, Yannick… (je dois en oublier), Sud Africains d’origine ou d’adoption.


Attardons nous un peu sur les principaux épisodes…

Sur le tableau des petites annonces du RCYC, nous avons trouvé le message de Sophie, une française de Montpelier qui cherchait une place pour la Commodore Cup, course en voilier qui s’élance de Cape Town jusqu’à Saint Hélène, le retour s’effectuant en chargeant bateaux et équipages sur le RMS Saint Helena, un cargo assurant la liaison entre Londres, Saint Hélène et Cape Town deux fois par mois.
Nous lui avons donc glissé un email pour faire sa connaissance ; Sophie n’a pas tardé à répondre. Le lendemain, elle débarquait sur Lafko. 5 jours plus tard, elle posait sa démission pour nous rejoindre et naviguer avec nous vers la Namibie ! Entre temps, elle nous a permis de découvrir Cape Town avec son Opel Corsa rouge 3 portes, gentes alu ! Nous nous promenions donc à 4 derrière, ce qui n’a pas manqué de faire rire tous les gendarmes que nous avons croisé (visiblement on ne verbalise pas pour ce genre de choses ici).
Manuel est Angolais. A l’âge de 15 ans il a quitté son pays. Deux tours du monde à la voile en solitaire à son actif, durant sa carrière il s’est occupé d’un chantier naval à Cape Town, qui a construit le Class America Sholshoza qui a couru il ya quelques années. Aujourd’hui à la retraite il s’occupe d’une école de voile pour les enfants des townships (quartiers populaires). Le principe est simple ; si les enfants viennent à l’école publique le matin, alors ils sont accueillis à l’école de voile l’après midi.
Il converse avec nous en français, décroche son téléphone en Italien, charrie ses amis en anglais… bref, on oublierait que le portugais est sa langue natale. Et pourtant il reste d’une humilité exemplaire. Un cœur en or, il nous a permis de découvrir la réserve naturelle de Cape Point, en promenant dans son pick up « le Team Lafko » … toujours en version 4 à l’arrière.
Nous avons retrouvé Intrepid, le bateau qui s’est fait attaqué par un bébé baleine en Juillet 2010. Cette histoire n’était donc pas un montage pour ceux qui ont vu la vidéo sur Internet et qui doutent encore. Ralph son skipper est vraiment super sympa. Il s’est fait contacter par des médias du monde entier pour raconter son histoire, alors qu’il ne demandait rien à personne… ce qui l’amuse beaucoup. On peut se demander comment se fait il qu’il y a des photos de l’évènement ; au moment où l’accident est arrivé, un ferry plein de touristes sortait justement du port de Cape Town, donc plutôt facile de couvrir l’évènement.
A plusieurs reprises Ralph est venu partager un petit café à bord de Lafko ; à ces occasions il a notamment évoqué les cours de voile qu’il propose à Cape Town : capetownsailing.co.za
Et puis il y a les autres, rencontrés dans Cape Town… Alors que nous nous baladions sur Long Street nous sommes rentré dans une petite boutique de souvenirs tenue par un congolais qui a fuit son pays devant les troubles politiques. A l’étage se tenait une soirée, nous sommes donc montés jeter un œil. Entrée payante ? Après petite discussion, nous entrons à l’œil dans la salle. Sur la quarantaine de personnes présentes nous étions les seuls blancs ! Qu’importe, nous avions décédé d’y prendre une bière… simple petite mousse qui s’est transformée en soirée Hip Hop inoubliable ! Concours de free style, on appelle cela comme on veut mais on a bien rigolé, Yannick, ses potes et la bande de « French sailors ».

Certes, pendant cette semaine à Cape Town, l’activité du Lafkoboy a (entre autres) consisté à se faire offrir des bières au bar du Royal Cape Yacht Club, mais pas uniquement… Les travaux ont bien continués : réparation de la Grand Voile, changement d’un bas hauban, ponçage de la rouille du puits de dérive, peinture du tableau arrière, remise en place du hale bas de bôme,… le tout avec les éternels problèmes de virement bancaires entre deux comptes à l’international nécessaire pour payer certaines prestataires.

Lancement de la procédure de sortie de territoire : Port Control, Immigration, Customs… Ca y est, il est temps de quitter Cape Town pour poursuivre notre route… Bye bye South Africa !

Jean-Christophe

lundi 1 novembre 2010

Intrepid, il l’est vraiment !

Intrepid… ce nom ne vous dit peut être rien, et pourtant ce voilier est très probablement le plus connu au monde. Plus que le Belem, plus que le Spray de Joshua Slocum, plus que le Pen Duick de Tabarly, plus que DOGzilla, le monstre américain de la dernière coupe de l’America, et sûrement plus même que Lafko (bon, peut être, mais un tout petit peu plus seulement, alors).
Alors, comment se fait il que vous le connaissiez sans reconnaitre son nom ?
Indice : Intrepid et son couple de propriétaires ont fait le tour du monde en 24h, ils sont devenus célèbres à travers le monde entier grâce à… une baleine.
Une baleine ??
Mais oui, souvenez vous, il y a 6 mois, cette photo, vous l’avez vue :



Et ce voilier qui va bientôt démâter, c’est Intrepid ! Vous voyez que vous le connaissiez ! L’histoire est à peine croyable : Ralph et Paloma Mothes font une sortie pour le plaisir en baie de Cape Town (et c’est inhabituel, car ils sont habituellement toujours accompagnés d’élèves sur leur sloop en acier qu’ils utilisent comme école de voile). Une baleine est aperçue à proximité d’Intrepid, et sur la navette qui relie Cape Town à Robben Island (l’île qui a servi de prison à N. Mandela 19 années durant), les appareils photos des touristes enchantés se tournent vers le cétacé. Et celui-ci, contre toute attente, s’élance dans les airs et fait retomber sa masse de plusieurs tonnes sur le pauvre voilier sous les yeux ébahis des objectifs. Intrepid démâte immédiatement, la baleine (ou plutôt le baleineau d’après les spécialistes) est un peu chatouillée mais n’est pas blessée.
Heureusement Intrepid est tout comme Lafko une bonne coque en acier et ses propriétaires bien que sous le choc, n’étaient pas sur le pont à l’endroit de l’impact. Ils retrouveront en guise de souvenir des lambeaux de peau de baleine de plusieurs centimètres d’épaisseur sur le pont. Une partie est immédiatement analysée par les spécialistes du parc naturel de Table Mountain, le reste du « trophée » sèche aujourd’hui dans le salon des Mothes. Entre bateaux en acier, il doit y avoir un certain feeling. En tout état de cause, c’est justement face à un Intrepid remâté et fraîchement repeint que Lafko est venu s’amarrer. Et sans aucun doute, Ralph fait le meilleur café de pontons de mémoire de Lafko…
La Croisette, pour les bateaux du star system, c’est à Cape Town ;-)
 
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